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L’Orchestre de chambre de Paris ouvre sa saison 2025-2026 au Théâtre des Champs-Élysées sous la direction de Thomas Hengelbrock

© Orchestre de la chambre de Paris

L’Orchestre de chambre de Paris est l’un des orchestres de chambre d’excellence et de référence en Europe. Depuis la saison 2024-2025, il a pour directeur musical le chef d’orchestre Thomas Hengelbrock. Le 18 septembre prochain, l’orchestre lancera la nouvelle saison 2025-2026 avec le concert F. X. MOZART | HUMMEL | DVOŘÁK dans le cadre prestigieux du Théâtre des Champs-Élysées.

Chaque saison, l’Orchestre de chambre de Paris s’empare d’un vaste répertoire pour orchestre de chambre allant du XVIIe siècle à nos jours, avec une centaine de créations à son actif. Ses musiciens réinterrogent la lecture des œuvres classiques, notamment par des collaborations avec des chefs d’orchestre issus de l’univers baroque ou avec des solistes dirigeant l’orchestre en joué-dirigé, et s’attachent également aux musiques des périodes romantique, moderne et contemporaine avec les XIXe, XXe et XXIe siècles.

Il rayonne à Paris et dans sa métropole avec des concerts à la Philharmonie de Paris, où il est résident, au Théâtre des Champs-Élysées, à l’Opéra-Comique, au Théâtre du Châtelet, ainsi qu’à la Salle Cortot.

Ce Jeudi 18 septembre prochain au théâtre des Champs-Elysées, c’est une expérience musicale exceptionnelle que l’Orchestre de chambre de Paris fera partager aux collaborateurs et aux salariés de votre entreprise ou de votre organisation. Lors de ce concert, le pianiste et grand mozartien Martin Helmchen se tourne vers un Mozart moins connu, avec le Concerto pour piano nº 2 de Franz Xaver, fils de Wolfgang : une œuvre virtuose et séduisante où le jeune compositeur commence d’affirmer son propre style. En préambule à ce concerto, Thomas Hengelbrock dirige l’ouverture de Mathilde de Guise, le plus célèbre opéra de Hummel, qui fut professeur de Franz Xaver Wolfgang Mozart. La deuxième partie du concert est dévolue à une symphonie romantique. La Huitième de Dvořák fut composée quelques années avant le départ du compositeur pour l’Amérique et chante encore l’Ancien Monde, et plus précisément la campagne tchèque où elle prit vie. Les mélodies bohémiennes y répondent aux sons de la nature, ce qui lui confère un grand charme et lui valut le surnom de « Pastorale ». Son troisième mouvement, quant à lui, rappelle Brahms dans ses sonorités de danse hongroise.

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