Loisirs

Seine-Maritime : Un automne de découvertes entre expositions et hommages à ne pas manquer

© (À gauche) Léopoldine, portrait au fusain et crayon rouge, Louis Boulanger – (À droite) Geoffroy Dumonstier, usages géométriques de l’astrolabe, Paris, Musée du Louvre, DAG, RF 354

Cet automne, le Département de la Seine-Maritime propose une programmation culturelle particulièrement riche, explorant des thèmes allant de l’art de la Renaissance à des œuvres contemporaines environnementales, en passant par un hommage à Léopoldine Hugo.

Exposition Extravagante Renaissance : Geoffroy Dumonstier, de Rouen à Fontainebleau | Archives départementales de la Seine-Maritime – Pôle culture Grammont, Rouen

Pour la première fois, le public peut découvrir les œuvres de Geoffroy Dumonstier, éminent peintre, enlumineur et graveur rouennais du XVIsiècle. En collaboration avec la Bibliothèque nationale de France et le Musée du Louvre, cette exposition réunit des manuscrits enluminés, gravures, sculptures et vitraux provenant de collections en France et à l’international. L’occasion unique de plonger dans l’univers raffiné et original de Dumonstier, artiste au service de la reine Elisabeth d’Autriche et du duc d’Alençon. 

Hommage à Léopoldine Hugo | Maison Vacquerie – Musée Victor-Hugo, Villequier

  • Baptême de la rose Léopoldine Hugo-Vacquerie
    Pour célébrer le bicentenaire de la naissance de Léopoldine Hugo, le Département et la Roseraie Guillot® ont baptisé une rose en hommage à cette figure romantique, fille de Victor Hugo. La cérémonie de baptême, suivie de la plantation d’un rosier dans le jardin du musée, marque un hommage à son histoire tragique.
  • Vitrine d’actualité : « Léopoldine Hugo, une jeune fille romantique »
    Le musée présente également une vitrine d’actualité consacrée à Léopoldine Hugo, en mémoire de sa vie marquée par un lien intense avec son père et sa fin tragique. Cette vitrine permet de découvrir des archives et objets qui témoignent de cette jeune figure romantique du XIXsiècle. 

Exposition Zone critique, penser avec le vivant, Michèle Trotta | abbaye Saint-Georges de Boscherville

Dans le cadre des célébrations autour des 150 ans de l’Impressionnisme, l’artiste Michèle Trotta présente une œuvre d’art environnemental inspirée des céréales. En résonance avec l’art impressionniste et l’importance de l’agriculture durable, cette installation éphémère explore les liens entre les cultures céréalières et les enjeux environnementaux actuels. Une démarche participative qui invite à une réflexion collective sur le vivant.

Source : Communiqué de presse – Agence Heymann Associés

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